Arrache-moi, ou presque.
[...]
°
Elle se refuse toujours à comprendre, à entendre,
Elle rit pour cacher sa terreur d'elle-même.
Elle a toujours marché sous les arches de la nuit
Et partout où elle a passé
Elle a laissé
L'empreinte des choses brisées.
VIII, Les petits justes, in Capitale de la douleur, Paul Eluard.
Le soleil est revenu brusquement, à en avoir mal aux yeux, hystérie, le coeur qui pépie.
Il y a des oiseaux partout dans les pages.
Les mouettes du bord de Seine sont une respiration.
"Arrache-moi le coeur, que je ne puisse plus avoir peur."
[Louise Attaque]
Ou presque. °
[...]
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Elle se refuse toujours à comprendre, à entendre,
Elle rit pour cacher sa terreur d'elle-même.
Elle a toujours marché sous les arches de la nuit
Et partout où elle a passé
Elle a laissé
L'empreinte des choses brisées.
VIII, Les petits justes, in Capitale de la douleur, Paul Eluard.
Le soleil est revenu brusquement, à en avoir mal aux yeux, hystérie, le coeur qui pépie.
Il y a des oiseaux partout dans les pages.
Les mouettes du bord de Seine sont une respiration.
"Arrache-moi le coeur, que je ne puisse plus avoir peur."
[Louise Attaque]
Ou presque. °
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