Olala, ou presque.
[...]
° Olala.
Mes stats s'effondrent !
Oui, en moi sommeille un expert comptable.
Ou bien une très vilaine personne aux considérations bassement matérialistes (bien que tout ça soit virtuel et superficiel).
En tout cas il est hors de question que cette situation se prolonge davantage.
Déjà parce que j'ai pas envie de vous perdre, chers amis lecteurs, parce que je vous aime, même si vous êtes moins bavards que moi (oui toi qui ne laisses jamais de commentaire, je te parle - tout le monde se sent visé sauf Matthias, c'est parfait, je vais avoir plein de commentaires sur cet article alors qu'il ne raconte rien - si vous voulez gagner du temps, vous pouvez arrêter de lire et laisser tout de suite un commentaire).
Ensuite parce que j'ai plein d'idées d'articles.
Je savais bien que tu continuerais à lire, petit curieux.
L'ultime raison, c'est que ça me manque, de pas écrire.
Alors on va reprendre le racontage de vie, à un rythme soutenu.
Minimum 5 articles par semaine.
Chose que je n'ai encore jamais faite.
Même pas peur.
Mais avant ça, j'vais aller fermer la fenêtre parce qu'il pleut, oui, ça y est, oh la bonne pluie. Non, aucun alien n'a pris possession de mon corps, je suis vraiment contente d'entendre la pluie qui s'écrase sur euh... le sol de l'appart.
J'vous laisse, y a urgence ! Ou presque. °
PS : Olala ça ferait un très bon nom de blog pour une Française exilée aux Etats-Unis, vous trouvez pas ?
[...]